- Bulletin n°1 - 2004
- Bulletin n°2 - 2005
- Bulletin n°3 [1] - 2006
- Bulletin n°3 [2] - 2006
- Bulletin n°4 - 2007
- Bulletin n°5 - 2008
- Bulletin n°6 - 2009
- Bulletin n°7 - 2010
- Bulletin n°8 - 2011
- Bulletin n°9 - 2012
- Bulletin n°10 - 2013
- Bulletin n°11 - 2014
- Bulletin n°12 - 2015
BULLETIN n°1 - année 2004
Ce Bulletin comprend trois parties.
88 pages
1 - L'éditorial
2 - Le peuplement à la fin du moyen-âge
3 - L'épizootie 1774-1775
4 - Découverte du patrimoine
5 - Bibliographie
6 - L'association
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BULLETIN n°2 - année 2005
Dans la première partie de ce bulletin, nous avions eu au départ l'intention de faire uniquement l'inventaire des Abbayes Laïques. Les documents des XVIIe et XVIIIe siècles retrouvés aux Archives Départementales nous ont permis de faire un inventaire plus complet : celui de toutes nos églises paroissiales. La grosse part revient pourtant aux abbayes laïques, car, pour les 23 églises paroissiales recensées dans notre Canton, 18 étaient des abbayes laïques. Ce terme n'évoque plus aujourd'hui, que quelques rares bâtiments anciens appelés "maisons d'abbadie".
Nous évoquons aussi dans cette première partie, une période plus récente : l'après guerre de 1914-18, avec le triste bilan des "morts pour la France" de nos villages et l'érection des monuments en leur honneur. Enfin, la seconde partie nous promène, du XIIe siècle au XXe, en différents lieux du canton au travers de divers événements. Toute l'équipe qui a participé aux recherches et à l'élaboration de ce Bulletin, les membres du Conseil d'Administration et les autres, est heureuse de vous faire partager ses découvertes et vous souhaite bonne lecture.
80 pages
1 - Editorial
2 - Les abbayes laïques
3 - Les monuments aux morts de 1914-1918
4 - Bribes et témoignages
5 - Bibliographie
6 - L'association
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BULLETIN n°3[1] - année 2006
Des plus de deux mille pages d'archives dépouillées, nous avons extrait les principales informations, en résumant les plus simples. Pour les informations plus complexes, nous avons choisi de reproduire entre guillemets le texte original.
Grâce à la multitude de renseignements recueillis pour l'établissement d'un nouveau Livre terrier, sous le règne de Louis XIV, nous vous invitons d'abord, à découvrir nos villages tels qu'ils se composaient alors. C'était le régime de la féodalité, l'Ancien Régime. A cette époque, peu de gens, surtout dans nos campagnes avaient la possibilité d'apprendre à lire. Un tiers à peine des tenanciers de terre (aussi bien nobles que manants) dans les bourgs était capable de signer leur nom en 1675. Il est probable que dans les plus petites communautés de voisins, le pourcentage y était inférieur. Mais dès cette époque, on découvre une volonté de faire instruire les enfants.
104 pages
1 - Avant-propos
2 - L'état des villages du canton sous Louis XIV
3 - Bribes
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BULLETIN n°3 [2] - année 2006
130 pages
1 - Enseignement et scolarité - chapitre I
2 - Enseignement et scolarité - chapitre II
3 - Enseignement et scolarité - chapitre III
4 - Enseignement et scolarité - chapitre IV
5 - Enseignement et scolarité - chapitre V
6 - L'association
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BULLETIN n°4 - année 2007
Ayant réussi à se réserver d’immenses concessions ou des promesses de concession en vue d’une colonisation, ils proposaient dans nos provinces, sous forme de contrats, l’accession à la propriété de parcelles dans ces concessions. Ils n’hésitaient pas à jalonner le pays pour proposer des contrats de colonisation. Si leurs démarches avaient un but lucratif, elles étaient assorties d’un idéal philanthrope. Ces hommes ont convaincu bon nombre de paysans les entraînant vers l’aventure. S’il y a eu quelques échecs, il y a eu aussi des succès.
116 pages
1 - Sommaire
2 - L'émmigration I
3 - L'émmigration II
4 - Nos villages de départ I
5 - Nos villages de départ II
6 - Nos villages de départ III
7 - Nos villages de départ IV
8 - Départ pour les colonies françaises
9 - Bribes I
10 - Bribes II
11 - Bribes III
12 - Bribes IV
13 - Bibliographie
14 - L'association
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BULLETIN n°5 - année 2008
En devenant sédentaires et agriculteurs, les hommes ont modifié leur façon de s’alimenter. Les céréales prirent une place de plus en plus importante dans leur alimentation et très vite, ils se sont mis à écraser les grains. Dans les premiers temps, ils écrasaient les grains sur des pierres plates à l’aide d’un gros silex, puis, ils ont façonné des outils spéciaux. En creusant dans de grosses pierres une cavité contre les parois de laquelle ils pilaient les grains à l’aide d’un gros silex arrondi, ils ont là inventé le principe de la meule. Cet outil préhistorique semble être demeuré longtemps dans cet état, jusqu’à ce que l’idée d’utiliser la force animale pour accomplir cet écrasement, obligeât à inventer d’autres formes.
Les meules cylindriques permirent d’écraser une plus grande quantité de grains. Elles ont été utilisées jusqu’au 20 ème siècle. Mais le plus grand progrès de la meunerie est dû à l’utilisation de la force de l’eau et du vent. Ce sont les moulins à eau qui ont les premiers fonctionné en occident. S’il est impossible de savoir à quelle époque cette évolution eut lieu, faute de documents ou de sites reconnus, l’existence des moulins à eau en Europe est avérée dès le 5ème siècle. Ces premiers moulins, le plus souvent construits en bois, étaient généralement implantés le long de cours d’eau de faible importance, plus faciles à contrôler. Dès cette époque et durant tout le Moyen Age, il y eut de nombreux moulins, partout en Europe. Les premiers bâtisseurs et possesseurs furent les seigneurs les plus puissants.
Ce sont ces derniers qui ont par la suite fait des donations à leurs seigneurs vassaux et aux monastères, ou leur ont accordé le droit d’en construire. Contrairement à ce qui est parfois retenu, même s’ils ont été possesseurs de nombreux moulins, ce ne sont pas les moines qui ont construit les premiers et ils en auraient même construit peu par la suite. La plupart de leurs moulins provenaient de donations faites par les seigneurs, ou d’acquisitions. Tout comme les seigneurs, les moines ne les exploitaient généralement pas eux-mêmes, mais les donnaient en fermage.
124 pages
1 - Sommaire
2 - Les origines des moulins
3 - Les moulins au nord du gave de Pau
4 - Les moulins au sud du gave de Pau I
5 - Les moulins au sud du gave de Pau II
6 - Les moulins au sud du gave de Pau III
7 - Les moulins de la vallée du Laà I
8 - Les moulins de la vallée du Laà II
9 - Les moulins de la vallée du Laà III
10 - Bribes I
11 - Bribes II
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BULLETIN n°6 - année 2009
Depuis que l’eau est arrivée dans nos maisons, sur nos éviers, dans nos baignoires il semble tout naturel que nous puissions en jouir à volonté pour tous les usages courants et journaliers mais aussi pour nos loisirs. Si bien qu’à cette heure, nous avons peu à peu perdu conscience de sa valeur. Nous la gaspillons et la polluons souvent, tout en déplorant qu’à notre époque, un grand nombre de gens dans le monde en manque.
Il y a à peine cinquante ans, bien des femmes continuaient de transporter leur linge au lavoir communal ou au ruisseau le plus proche pour y rincer la lessive et lorsqu’ils n’avaient eu la possibilité de faire creuser un puits dans leur jardin, les habitants de nos villages allaient chercher l’eau potable au puits communal ou à la fontaine. Les sources et les ruisseaux tarissaient parfois en été. Les ruissellements polluaient quelquefois les sources et les fontaines.
Ces pénuries donnaient encore plus de valeur à l’eau que l’on ne gaspillait jamais. Il n’y a que cinquante ans que les réseaux d’eau courante ont été créés dans la plupart de nos villages et déjà, beaucoup de ces fontaines, puits communaux et abreuvoirs ont disparu. Et disparue aussi la mémoire des efforts quotidiens fournis par nos ancêtres pour son usage ou pour s’en préserver.
C’est la mémoire de ce temps pas si lointain et déjà révolu que nous voulons sauvegarder par ce bulletin, espérant aussi encourager les initiatives de restaurations de ce petit patrimoine qui fait le charme de nos villages.
100 pages
1 - Sommaire du n°6
2 - L’eau et ses usages dans nos villages autrefois
3 - De l’usage de l’eau avant l’adduction d’eau potable dans nos villages : Abidos - Arance - Bésingrand
4 - De l’usage de l’eau avant l’adduction d’eau potable dans nos villages : Biron - Castetner - Gouze
5 - De l’usage de l’eau avant l’adduction d’eau potable dans nos villages : Laà-Mondrans - Lacq-Audéjos - Lagor
6 - De l’usage de l’eau avant l’adduction d’eau potable dans nos villages : Lanneplaà - Lendresse - Loubieng
7 - De l’usage de l’eau avant l’adduction d’eau potable dans nos villages : Maslacq - Mont - Mourenx
8 - De l’usage de l’eau avant l’adduction d’eau potable dans nos villages : Noguères - Os-Marsillon - Ozenx-Montestrucq
9 - De l’usage de l’eau avant l’adduction d’eau potable dans nos villages : Sarpourenx - Sauvelade - Vielleségure
10 - Bribes
11 - Vie de l'association
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BULLETIN n°7 - année 2010
Depuis plusieurs années, l’association s’est engagée, grâce à l’exploitation des données de l’état civil et à un logiciel spécifique (Hérédis), à permettre à chacun la découverte de sa généalogie. Afin qu’elles soient accessibles à tous, les données sont publiées sur notre site internet gratuit www.mclvl.fr, au fur et à mesure des saisies.
Pour mieux faire connaître cette part de nos activités, nous avons voulu axer ce bulletin sur ce thème, en publiant quelques exemples de généalogies concernant chacun de nos villages du Canton de Lagor et de la vallée du Laà.
Généalogies de seigneurs, attachées aux maisons nobles. Généalogies de familles plus humbles, dont l’un des leurs est devenu célèbre. Anecdotes relatant les hauts faits, pas toujours glorieux, de personnages qui ont marqué leur époque. Ou simplement la révélation du passé glorieux, mais tombé dans l’oubli, d’humbles personnes comme le poilu de Bésingrand…
Les sources utilisées proviennent des registres d’état civil et des registres paroissiaux, mais aussi de bien d’autres documents : archives notariales, communales ou familiales, chroniques de contemporains, archives de la Cour de la Tournelle qui au 18ème siècle traitaient de toutes les affaires criminelles.
Voilà donc une panoplie de personnages, qui, avec leurs qualités et leurs défauts se sont confrontés aux moeurs et aux aléas de leur époque. Ce sont nos ancêtres, nous en sommes les héritiers.
Ce bulletin, fruit d’un travail collectif, a été réalisé par la plupart de membres du Conseil d’Administration et la collaboration de quelques adhérents que nous remercions chaleureusement.
120 pages
1 - Sommaire du n°7
2 -L’ancienneté de nos maisons dans nos vilages
3 - Quelques généalogies des villages de Abidos - Arance - Audéjos - Bésingrand
4 - Quelques généalogies des villages de Biron - Castetner - Laà-Mondrans - Lacq
5 - Quelques généalogies des villages de Lagor - Lanneplaà - Lendresse - Loubieng
6 - Quelques généalogies des villages de Maslacq - Mont - Montestrucq - Mourenx
7 - Quelques généalogies des villages de Noguères - Os - Ozenx - Sainte-Suzanne
8 - Quelques généalogies des villages de Sarpourenx - Sauvelade - Vielleségure
9 - Bribes
10 -Moments forts de l'association 2009
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BULLETIN n°8 - année 2011
Autrefois, l‘activité des habitants dépassait rarement les limites de leur village. Cette activité générait dès le matin, toutes sortes de bruits, d’odeurs, de mouvements qui étaient propres à chaque village et lui donnaient son rythme, sa singularité, son caractère.
122 pages
1 - Sommaire du n°8
2 - Editorial Introduction
3 - Nos villages en 1905 : Abidos, Arance, Bésingrand,Biron, Castetner
4 - Nos villages en 1905 : Gouze, Laa-Mondrans, Lacq, Lagor, Lanneplaa
5 - Nos villages en 1905 : Lendresse, Loubieng, Maslacq, Mont, Montestrucq
6 - Nos villages en 1905 : Mourenx, Noguères, Os-marsillon, Ozenx, Sainte-Suzanne, Sarpourenx, Sauvelade, Vielleségure
7 - Bribes
8 - Vie de l'association - généalogie
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BULLETIN n°9 - année 2012
Connait-on encore aujourd'hui le prénom de nos voisins ? Ces derniers nous sont le plus souvent connus sous leur patronyme. Il n'en n'a pas toujours été ainsi. De nos jours, le prénom ne sert que pour préciser l'identité de la personne, mais le plus souvent nous n'utilisons que son patronyme pour le désigner : "Un tel est passé me voir!".
Il faut cependant remarquer que lorsqu'il s'agit d'une femme, le mot "madame" (ou mademoiselle) précède le patronyme, le prénom n'étant utilisé qu'en cas de familiarité.
Au Moyen Age en Béarn, le prénom (nom de baptême) a semble-t-il prévalu et le nom de sa maison (ostau) ne servait qu'à préciser son identité, identité précaire, puisqu'il pouvait la perdre en quittant cet ostau. Pour exemple, le censier commandé par Gaston Fébus dès 1365 à Bernard de Duras et achevé en 1385*.
Dans ce registre où on aurait pu se contenter de recenser les maisons (ou foyers), chaque chef d'ostau est désigné par son prénom (suivi du nom de sa maison et parfois de son métier), ce prénom étant son principal "identifiant". Exception à cette règle, les maisons inoccupées, les maisons nobles et les « crestia ».
Les « crestia », parce que leurs maisons étaient une communauté d’habitations, les maisons nobles probablement parce qu'elles étaient plus particulièrement sujettes à changer de propriétaire ou tout simplement parce que le nom du domaine, de l'abbadie ou de la maison forte suffisait à l'identifier.
Les « crestia » continuèrent longtemps d'être nommés par leur seul prénom. Les maisons qui abritaient des questaus appartenaient à un "maître" (le vicomte ou un seigneur médiat) ; elles avaient aussi reçu un nom par lequel ces questaus purent s'identifier. Une fois affranchis, ils continuèrent d'habiter "leur" maison et d'en porter le nom.
L'importance du nom de la maison est très forte en Béarn, tout comme sa pérennité, bien que celle-ci tende à disparaître. On trouve encore dans nos communes des maisons qui ont été nommées au 16e ou 17e siècle et parfois même bien avant le 14e siècle. Il arrive même que leurs habitants en portent encore le nom.
En faisant leur inventaire, le projet de ce bulletin est de vous les faire découvrir.
J. Marie Larsen
164 pages
Notes :
1 - Sommaire du n°9.
2 - Editorial Introduction.
3 - Le nom des maisons - origine pérennité habitat béarnais : Abidos, Arance, Bésingrand,Biron, Castetner.
4 - Le nom des maisons - origine pérennité habitat béarnais : Gouze, Laa-Mondrans, Lacq, Lagor.
5 - Le nom des maisons - origine pérennité habitat béarnais : Lanneplaa, Lendresse, Loubieng.
6 - Le nom des maisons - origine pérennité habitat béarnais : Maslacq, Mont, Montestrucq, Mourenx, Noguères, Os-Marsillon.
7 - Le nom des maisons - origine pérennité habitat béarnais : Ozenx, Sarpourenx, Sauvelade, Vielleségure.
8 - Bribes.
9 - Généalogie - Vie de l'association.
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BULLETIN n°10 - année 2013
Depuis que les hommes ont occupé notre territoire, bien des cultes ont été pratiqués dont nous nous efforçons de conserver la mémoire.
Ces cultes s'étaient succédés au gré des déplacements et des implantations des diverses peuplades (celtes entre autres).
L'occupation romaine avait elle aussi importé ses propres et innombrables divinités, jusqu'au jour où l'empereur Constantin introduisit le culte chrétien (vers 325).
Ses successeurs en firent la religion de l'Empire et elle fut imposée à toutes les contrées qui formaient la Gaule.
Tous les souverains, jusqu'aux moindres ducs de contrées (Aquitaine) ou de simples vicomtes de principauté (Béarn), devinrent représentants de Dieu et chefs de l'Église qu'ils avaient pour mission de défendre et protéger.
Moines, ermites, prêtres et évêques se mirent à parcourir les contrées pour évangéliser. Les premières communautés se formèrent, fondant les premières églises et les premiers évêchés (IXe Xe siècles).
Le culte chrétien d'occident pratiqué depuis son introduction a connu bien des schismes et des divisions que les papes successifs s'efforcèrent de contrer à coup de conciles et de dogmes déclarés.
Le pouvoir politique en place participa au maintien de la pratique sinon de la croyance.
Notre pays de Béarn a douloureusement éprouvé cette toute-puissance. La Religion réformée ou Protestantisme qui n'est qu'une autre pratique du culte chrétien y fut imposée par sa reine Jeanne d’Albret, suscitant une longue période de troubles. Quelques décennies plus tard, le pouvoir royal rétablissait l’ancien culte, tout aussi brutalement. Cette longue période d’agitation religieuse chrétienne aura duré près de deux cents ans.
Le culte chrétien a ainsi depuis plus de 1600 ans marqué notre pays. Chapelles, églises, cathédrales, cimetières, calvaires et autres en sont les témoignages qui donnent à nos paysages un caractère bien particulier. Ils sont avec les temples et autres lieux de culte l'objet de notre recherche actuelle.
J. Marie Larsen
240 pages
1 - Introduction du n°10.
2 - Les églises : Abidos, Arance, Bésingrand,Biron, Castetner.
3 - Les églises : Laa-Mondrans, Lacq, Lagor, Lanneplaà, Lendresse.
4 - Les églises : Loubieng, Maslacq, Mont, Montestrucq, Mourenx, Noguères.
5 - Les églises : Os-Marsillon, Ozenx, Sarpourenx, Sauvelade, Vielleségure.
6 - Bribes : Réquisition des cloches.
7 - Bribes : Nouvelles églises.
8 - Bribes : Un Bach.
9 - Vie de l'association.
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BULLETIN n°11 - année 2014
Que reste-t-il dans la mémoire familiale de la première guerre mondiale et des morts qui en ont été victimes ? Cent ans après, les témoins disparus, leurs récits retransmis ne semblent plus concerner leurs descendants. Étant passés à l’Histoire, ils ne sont plus que des "Héros", déshumanisés, désincarnés, poétisés. D’autres noms ont été gravés, sur le monument dressé dans chacun de nos villages afin de les honorer, ceux des soldats morts durant la seconde guerre mondiale ou de la guerre d’Algérie. Mais qu’en reste-t-il aujourd’hui ?
J. Marie Larsen
174 pages
1 - Édito du n°11.
2 - Introduction du n°11.
3 - Les poilus : Abidos, Arance, Bésingrand,Biron, Castetner, Gouze.
4 - Les poilus : Laà-Mondrans, Lacq-Audéjos, Lagor, Lanneplaà, Lendresse, Loubieng.
5 - Les poilus : Maslacq, Mont, Montestrucq, Mourenx, Noguères, Os-Marsillon.
6 - Les poilus : Ozenx, Sainte-Suzanne, Sarpourenx, Sauvelade, Vielleségure.
7 - Bribes : Poilus.
8 - Vie de l'association.
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BULLETIN n°12 - année 2015
La création des premiers maires, sous la royauté.
Le 27 août 1672, Louis XIV signe un édit portant sur la création de maires perpétuels dans les hôtels de ville et les communautés du Royaume. Il signe un autre édit portant création de lieutenants maires.
J. Marie Larsen
162 pages
1 - Édito - Introduction du n°12.
2 - Les communes : Abidos, Arance, Bésingrand,Biron, Castetner, Gouze.
3 - Les communes : Laà-Mondrans, Lacq-Audéjos, Lagor, Lanneplaà, Lendresse, Loubieng.
4 - Les communes : Maslacq, Mont, Mourenx, Noguères, Os-Marsillon, Ozenx-Montestrucq, Sarpourenx, Sauvelade, Vielleségure.
5 - Bribes : Le Poilu oublié d'Ozenx et le repos du dimanche à la campagne.
6 - Vie de l'association.
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